Je suis chrétien et j’aime Dieu. Dois-je arrêter d’écouter les musiques du monde ou je dois écouter avec modération ? [Mike]

Certains tirent de la description du culte de l’Ancien Testament que la musique a été créée par Dieu pour l’adoration du vrai Dieu. Les musiques du monde seraient donc forcément attachées à des idoles. Personnellement, et parce qu’aucun commandement ni aucun passage ne traite directement du sujet, je considère que la musique est un moyen d’expression. Elle peut être employée pour louer Dieu , pour promouvoir des idoles, pour faire du bien, pour faire du mal ou encore pour exprimer, simplement, ce qui est en l’humain qui en joue. C’est ainsi à nous d’exercer notre discernement, et d’écouter la musique que nous rencontrons avec des oreilles chrétiennes. Nous pouvons discerner et repousser ce qui nous invite à mal croire ou à mal agir. Nous pouvons être édifiés par des auteurs non chrétiens qui expriment les difficultés d’une humanité qui a besoin de Dieu. Nous pouvons, enfin, user de la musique contemporaine pour comprendre nos contemporains, et rendre ainsi plus pertinent notre témoignage. Il reste important de connaître nos limites et de ne pas écouter ce qui pourrait nous entraîner ou entraîner d’autres loin de Dieu. Ainsi, si avant d’être chrétien, j’avais des comportements violents liés à quelques chansons de rap, il vaudrait peut-être mieux éviter ce genre de musique. De la même manière, si je suis dans un milieu chrétien qui a une conception étroite de la musique, il vaut mieux pour moi m’abstenir de choquer mes frères et soeurs. Le chapitre 14 de l’épître aux Romains éclaire probablement la question de la musique, quand elle parle de la viande, qui était alors sacrifiée aux idoles. Rien n’est impur en soi, les chrétiens peuvent donc en consommer, si cela ne les entraîne pas loin de Dieu.

Pourquoi Jésus dit-il à la femme adultère : « Je ne te condamne pas- va- ne pèche plus » alors que notre condition fait que nous sommes toujours pécheurs ? Ça peut être angoissant… [Manu]

Cela serait angoissant si Jésus avait dit à la femme adultère : ne sois plus pécheur, parce qu’alors, cela n’aurait pas été possible avant la fin des temps.Jésus dit plutôt à cette femme « ne pèche plus ». Il désigne ainsi le péché qui vient d’être dévoilé et pardonné : son adultère. En dévoilant le péché, en donnant le pardon, Jésus donne à la femme la liberté de ne pas commettre de nouvel adultère. Cette femme continuera certainement, comme nous tous de commettre des péchés mais si elle laisse Dieu agir elle pourra vivre le pardon en Christ et voir son comportement changé par le Saint-Esprit. Ainsi, Luther disait que nous étions à la fois pécheurs et saints. Pécheurs parce que notre humanité nous contraint à commettre des péchés. Saints parce que notre relation à Jésus nous ouvre au pardon qui nous libère et nous permet d’être changés.
2 Corinthiens 3 « Or, le Seigneur c’est l’Esprit; et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit. »

D’où vient le baptême par aspersion ? Pourquoi certaines Eglises le refusent ? Que dit l’Ecriture sainte là-dessus ? [Kym]

Le verbe « baptiser » signifie « plonger ». Jésus et les premiers chrétiens ont indéniablement été baptisés par immersion. C’est ce geste d’être plongé puis ressorti de l’eau qui donne tout son sens au baptême. Ainsi, le moment où le baptisé est sous l’eau dit la mort au péché. Le moment où il en est sorti dit la vie nouvelle donnée en Christ et alors reçue par le candidat. Ainsi, Colossiens 2/12 : « ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l’a ressuscité des morts. » Romains 6/3-4 « Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. »

C’est parce que la Bible parle uniquement d’un baptême d’immersion que certaines Eglises considèrent que le baptême par aspersion n’est pas valable. Les Eglises qui le pratiquent, en revanche, considèrent que ce type de baptême est une forme valable de baptême. Cette reconnaissance  est ancienne puisqu’il en est question dans la Didachè, texte d’instruction rédigé pour les chrétiens de la fin du premier siècle qui parle d’aspersion possible en cas de problème « technique » concernant la possibilité d’immerger le baptisé : VI/1-2 « 1. Quant au baptême, baptisez ainsi : après avoir proclamé tout ce qui précède, baptisez au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit dans de l’eau vive (courante). 2. – Mais, si tu n’as pas d’eau vive, baptise dans une autre eau; si tu ne peux pas (baptiser) dans l’eau froide, que ce soit dans l’eau chaude. Si tu n’as ni l’une ni l’autre (en quantité suffisante), verse trois fois de l’eau sur la tête au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. »

 

Que dit la Bible d’une affirmation comme celle-ci : « On peut faire du mal autour de soi sans faire d’erreur » ? [Michel]

Voici ce que Paul affirme, dans la lettre aux Romains 7/18-25 : « Oui, je le sais, le bien n’habite pas en moi, je veux dire en moi qui suis faible. Pour moi, vouloir le bien, c’est possible, mais faire le bien, c’est impossible. En effet, le bien que je veux, je ne le fais pas, et le mal que je ne veux pas, je le fais. Si je fais ce que je ne veux pas, ce n’est pas moi qui agis, mais c’est le péché qui habite en moi. Ainsi, je découvre cette loi : quand je veux faire le bien, c’est le mal qui se présente à moi. Au fond de moi-même, la loi de Dieu me plaît. Mais je trouve dans mon corps une autre loi, elle lutte contre la loi avec laquelle mon intelligence est d’accord. Cette loi me fait prisonnier de la loi du péché qui est en moi. Me voilà bien malheureux ! Qui va me libérer de ce corps qui me conduit vers la mort Remercions Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur ! »

Nous ne pouvons pas faire le bien erreur ou pas. Ainsi, bien attentionnés ou non, nous sommes indéniablement pécheurs. L’expérience ne nous dit pas autre chose. Ainsi, alors que je désire bien faire et ne me trompe pas sur ce qui est bon, je n’arrive pas toujours à le faire. Prenons un exemple : j’ai raison de croire que je ne dois pas mentir. Certaines circonstances m’y pousseront pourtant. Je peux aussi penser qu’une chose est bonne et l’accomplir alors qu’elle ne l’est pas, parce que je suis incapable de mesurer parfaitement la portée de mes actes. Ainsi, je vais donner des stylos pour des écoliers pauvres d’un pays lointain et penser que je fais bien. En réalité, à cause de mon don, les stylos locaux cesseront de se vendre et je participerai à la misère de ceux dont c’était le travail.
Déprimant ? Non, car nous avons un Sauveur ! Le texte continue (Romains 8/1-2) : « Il n’y a donc maintenant plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En effet, la loi de l’Esprit de la vie en Jésus-Christ t’a libéré de la loi du péché et de la mort ».

Il ne s’agit donc pas aujourd’hui de ne pas faire d’erreur, mais de nous laisser reprendre, pardonner et conduire par Dieu !

Que penser de Taizé et de son évolution ? Comment un protestant peut-il (ne pas) s’y retrouver ? [Gilles]

Taizé est tout d’abord une communauté de frères qui voulaient vivre leur foi chrétienne dans le cadre de l’expérience monastique. Ces frères d’origines protestante et catholique entendaient se centrer sur Christ tout en revisitant un profond héritage de l’Église (le choix de la Bourgogne et la proximité de Cluny n’est pas un hasard!). Le choix œcuménique de la communauté est aussi né des espoirs de la génération Vatican II d’un christianisme centré sur Christ et non sur des églises au sens dénominationnel. Par la suite, ce lieu est devenu un repère international pour des jeunes en recherche spirituelle. La vie simple et rustique, le rythme cultuel et la grande bienveillance des frères ont favorisé l’incroyable croissance de ce mouvement.

Comme pour tous les mouvements, il faut garder autant d’esprit critique que de capacités à reconnaître ce qui est bon. Aujourd’hui encore, de nombreux jeunes font à Taizé leur première rencontre avec la prière ou la lecture personnelle de la Bible. C’est un lieu ecclésial où beaucoup sont impressionnés par la possibilité d’une vie fraternelle, dépouillée, rythmée par la méditation de l’Écriture, la prière et la louange.

D’un autre côté, l’ambition oecuménique de la communauté souffre des mêmes piétinements que le mouvement né de Vatican II. On peut y trouver le risque de privilégier l’unité des institutions ecclésiales à l’ambition jadis prophétique de l’unité en Christ. Si l’unité recherchée apparaissait comme trop « humaine », il faudrait nécessairement être aussi vigilant face aux risques de confusion et de religiosité. Par ailleurs, il est certain que cette expérience ne convient pas à certains tempéraments ou besoins spirituels des chrétiens.

Personne n’est obligé de «s’y retrouver » à Taizé. Pas non plus la peine de maudire ce lieu. Il suffit de garder son discernement.

Que dit le protestantisme par rapport à la prostituée de Babylone ? Est-ce l’Eglise catholique ? [Philippe]

La Grande Prostituée est cette femme évoquée dans le livre de l’Apocalypse qui domine une bête à 7 têtes (représentant à la fois 7 montagnes sur lesquelles elle est assise et 7 rois). Jean, qui reçoit cette révélation biblique de Jésus, s’adresse aux chrétiens pour leur montrer ce qui doit arriver bientôt. Cela lui permet de les encourager ou de les mettre en garde contre eux mêmes et contre le reste de la création.

Cette Grande Prostituée qui porte le nom de Babylone, est la mère de toutes les abominations de la Terre, boit le sang des martyrs chrétiens, brille par ses vêtements (pourpre et écarlate) et ses bijoux (en or, pierres précieuses et perles), exerce une domination sur des peuples et nations. Cette Grande Prostituée sera vaincue par dix rois et la Bête.

Nous voyons ici qu’il s’agit d’images et que les interprétations peuvent être nombreuses et contradictoires. Le protestantisme ne porte donc pas une seule compréhension de ce qu’est cette Grande Prostituée.

Il est vrai que certains protestants (après avoir entendu -plus que lu- que le Réformateur Martin Luther avait publié un ouvrage intitulé « Prélude sur la captivité babylonienne de l’Eglise ») ont pu considéré qu’il s’agisse de l’Eglise catholique romaine. Cependant, cette interprétation est extrêmement minoritaire comme en témoigne les nombreux dialogues et rencontres fraternels entre catholiques et protestants et évangéliques.
D’autres protestants, beaucoup plus nombreux, plaçant ce livre de l’Apocalypse dans son contexte d’écriture, estime que cette Grande Prostituée est l’Empire Romain.
Pour ma part, je demande au Seigneur de m’éclairer sur ce qui en moi, dans mes pensées, mes paroles et mes gestes sont des compromissions avec la Grande Prostituée, au détriment de sa volonté à Lui, Mon Créateur.

Je voudrais parler avec une personne de ma famille ; je ne sais pas comment faire. [Gilbert]

Dieu nous place dans nos familles pour y être des témoins véritables de son amour et de ses commandements. Il ne nous laisse pas seuls dans cette mission… après tout nous sommes des sarments reliés à l’unique cep: Sans lui, impossible pour nous de porter la moindre grappe de raisins !

Votre crainte de parler avec un membre de votre famille est liée à un passé qui ne demande qu’à être éclaté par la présence glorieuse de Jésus Christ : s’il a vaincu la mort c’est pour vaincre toutes nos craintes dont la votre !

C’est pourquoi, je vous encourage à demander à Dieu de renouveler votre esprit et d’en éloigner les tourments qui n’ont pas lieu d’y demeurer. Lorsqu’arrivera le jour prévu pour cette discussion avec cette personne, vous le saurez dans votre esprit. Dès le matin. Et vous pourrez alors demander à Dieu de parler lui-même à travers vous, pour que vos paroles correspondent à sa volonté.

Dieu a désiré votre famille, cette personne et vous-même.

Le ciel est-il un état spirituel ou un lieu physique ? [Cécile]

Dans la création de Dieu, certains éléments nous sont connus par nos sens « physiques » (l’ouïe, le toucher, le goût, l’odorat et la vue), d’autres par nos sens « psychiques » (émotion, intelligence/raison) et d’autres encore par notre esprit. Moi, par exemple, je ne connais les planètes du système solaire que par mon intelligence… mais si vous êtes astronomes ou astronautes, vous les connaîtrez, également, par votre vue voire votre toucher !

Tous ces éléments ont été créé par Dieu et les chrétiens veulent proclamer la souveraineté/seigneurie de Dieu sur chacun d’eux. Lorsque la Bible parle du ciel, de la terre, de la mer, des firmaments, des êtres vivants, bref de toute la création, elle veut nous faire comprendre la légitimité de l’autorité (et volonté) de Dieu sur toutes choses.

Le ciel est à la fois ce que je perçois avec mes yeux mais également l’une des créations de Dieu dans lequel et sur lequel il règne. Son éloignement de la Terre a encouragé nombre de croyants (dans la Bible ou non) d’y voir le lieu où vit Dieu, cependant depuis l’incarnation de Jésus Christ nous ne pouvons plus considérer qu’il ne règne que là-haut ou de là-haut…même si nos mains continuent de s’élever vers le ciel pour indiquer la grandeur de Dieu pour nous.

Et j’entends aussi tout ce que Dieu a créé dans le ciel, sur la terre, sous la terre et sur la mer. Tout ce qui existe dans le monde chante : « Louange, honneur, gloire et pouvoir pour toujours à celui qui est assis sur le siège royal, ainsi qu’à l’Agneau ! » (Apocalypse 5, 13, PdV)

J’aime trop les femmes- j’arrive pas à être fidèle à une seule. Pouvez-vous m’aider ? [Fred]

D’abord, le projet de Dieu pour l’homme vis-à-vis des femmes c’est de n’en avoir qu’une (Genèse 2, 24) ! Les relations hors mariage ou adultérines ne sont pas sans conséquence (1Corinthiens 6, 9-10). Mais, comme toutes les bonnes choses, l’attrait pour la gente féminine peut exercer une telle force en nous qu’il ne s’agit pas seulement de vouloir s’en émanciper pour y arriver. Le sexe ou même la drague peuvent procurer de tels plaisirs qu’ils peuvent donner lieu à une forme de dépendance. Il faut alors rappeler que c’est l’obéissance aux commandements de Dieu qui procurent le bonheur (Psaume 119, 1-2), et les plaisirs hors de ces sentiers n’engendrent, à plus ou moins long terme, que déceptions et amertume.

Voici une suggestion de « plan d’action » pour sortir de votre mauvais penchant :

-d’abord, demandez pardon à Dieu pour vos relations illégitimes avec les femmes. Remettez-Lui les blessures ou les mensonges que vous avez entendu qui font peut-être que les rapports avec les femmes ont pris une telle importance pour vous. Et, si vous ne l’avez pas encore et que vous ne vous sentez pas appelé au célibat, priez Dieu pour qu’il vous donne VOTRE femme. Ensuite, priez Dieu pour qu’il transforme votre volonté et qu’il ne vous soumette pas à la tentation.

-quand vous cédez, par un regard (Matthieu 6, 22) ou plus, à votre attrait démesuré, demandez encore pardon à Dieu, demandez-lui encore de changer votre cœur et repartez… petit à petit, si vous êtes sincères, Dieu va vous libérer de cet attrait.

-enfin, quand vous aurez la conviction d’avoir rencontrée VOTRE femme, concentrez-vous sur l’amour que vous êtes appelés à lui porter (Ephésiens 5, 23). Je crois que, peut-être plus vite que ce que vous ne le croyez, la joie d’une relation fidèle et sincère, associée à la poursuite du combat spirituel contre votre mauvais penchant, vous permettront un jour de rendre gloire à Dieu pour vous avoir libéré de votre problème.

Que pensez-vous des mouvements comme l’association Coexister ? Les religions contraires peuvent-elles vraiment dialoguer ensemble ? Je prie chaque jour que tous se tournent vers le Christ. [Valentina]

Coexister est une association dont le but est de favoriser le vivre-ensemble entre personnes de religions et convictions diverses. Elle incite donc à la rencontre, au dialogue pour promouvoir des relations interconvictionnelles assumées et pacifiques. Elle considère que la diversité convictionnelle, plus qu’une donnée à prendre en compte, est une chance. Mais comment défendre que chaque conviction doive s’assumer pleinement et en même temps penser que la coexistence est possible ? Il me semble que c’est en effet illusoire, car s’il peut exister des points communs entre les différentes convictions religieuses et philosophiques, il y a des contradictions difficilement conciliables. Par exemple, être monothéiste implique adorer un Dieu et un seulement, ce qui est en contradiction avec le fait de n’en adorer aucun ou plusieurs ; croire que Jésus est le messie d’Israël et le fils de Dieu mort et ressuscité pour le salut des Hommes est en contradiction avec le fait de ne pas y croire… et y croire ou non change beaucoup de choses.

En tant que chrétiens, je crois que l’on peut reconnaître que dans différents peuples et individus peuvent se trouver une certaine appréhension de Dieu ou des vérités sur l’Homme et la création (Romains 1, 20-21). Il me semble qu’il est louable de ne pas céder à la violence d’une part, d’essayer d’écouter et de comprendre l’autre d’autre part. Pour autant, derrière la mode du dialogue interreligieux à proprement parlé, il y a l’adhésion plus ou moins consciente à une vérité non-chrétienne selon laquelle toute vérité serait relative, ou bien qu’elle se trouverait partiellement chez tout le monde. Or les Écritures enseignent que Jésus Christ est le Fils de Dieu, Celui qui a crée le monde, le jugera (Romains 2, 6-8) et s’est révélé de manière privilégiée à Israël ; Jésus est le chemin, la vérité et la vie et nul ne vient au Père sans passer par Lui (Jean 14,26); Il est le Juste qui soumettra toute chose afin que Dieu soit tout en tous (1Corinthiens 15, 28) ; c’est Lui la clé de la paix entre Dieu et les Hommes (Romains 5,1) et entre les Hommes entre eux (Esaïe 9,5-6). Il me semble que vous faites bien de prier pour que tous se tournent vers Christ.