Un pasteur m’a expliqué que Jésus n’a pas ressuscité physiquement- mais qu’il est ressuscité spirituellement (dans nos cœurs). Votre avis ? [Tony]

Quand j’accompagne des familles pour des obsèques, je vois souvent les Pompes Funèbres faire de leur mieux pour consoler les endeuillés avec des formules du genre : « il est encore là, vivant, dans vos cœurs et dans vos souvenirs… ». Mais il y a bien une différence entre la mémoire que j’ai de ma grand-mère et la résurrection de Jésus-Christ ! Les chrétiens ne commémorent pas simplement un mec génial en essayant de prolonger quelques unes de ces idées, ils croient que Jésus de Nazareth est sorti du tombeau pour régner et ouvrir les portes d’un Royaume réel. La vérité historique et physique de cet événement est le gage d’une relation avec un Dieu vivant, car sinon la foi ne serait que phantasme, autosuggestion et idéologie (même pleine de bons sentiments et efficace pour consoler).

Du point de vue des auteurs bibliques, il est non seulement clair qu’ils ont compris la résurrection comme historique et physique, mais en plus, ils ont jugé nécessaire de donner des éléments pour interdire une compréhension uniquement symbolique de leurs récits. Matthieu rapporte carrément une polémique anti-chrétienne qui dit que les chrétiens ont volé le corps de Jésus dans le tombeau (Matthieu 28, 11-15). Jean rapporte la rencontre de Jésus avec Thomas où il lui offre la possibilité de le toucher physiquement (Jean 20, 24-29). Paul argumente contre des conceptions de certains chrétiens de la communauté de Corinthe qui pensent qu’il est possible d’être chrétien sans croire la résurrection de Jésus (1 Corinthiens 15).

A ce niveau là, la réduction symbolique de la résurrection de Jésus n’est pas une interprétation possible des textes bibliques. Le Nouveau Testament évoque clairement une compréhension historique et physique de la résurrection. Cette résurrection a évidemment beaucoup de force symbolique et spirituelle, mais celui qui veut s’en tenir à une résurrection symbolique ou spirituelle « dans son cœur » doit être conscient qu’il remet en cause le témoignage des apôtres et des textes bibliques. Ce n’est tout simplement plus la Bonne Nouvelle « par laquelle vous êtes sauvés » (1 Co 15, 2).

Un chrétien- qui commet souvent « l’adultère dans son cœur » selon Matt 5-27-28- même après s’en être repenti- peut-il perdre son salut ? Comment peut-il s’en sortir ? [P]

Attention aux effets d’optique, les chrétiens qui viennent à l’église sont bien d’avantage encouragés à témoigner de leurs victoires sur le péché qu’à exposer leurs batailles perdues… La gentille sœur qui t’accueille à l’entrée ne te dira pas en guise de bienvenue qu’elle galère aussi avec ses pensées sexuelles ou qu’elle veut souvent tuer un de ces collègues de travail. Pécheur, ne te sens pas seul et reprends courage dans ta lutte ! La conversion ouvre un chemin à l’action de Dieu à l’intérieur du croyant pour opérer le salut. Ce salut est l’œuvre de Dieu seul, le croyant peut en être certain et rien ni personne ne pourra empêcher que ce salut produise du fruit même si le croyant doit attendre encore la plénitude de sa guérison.

Pour ce qui est de la pensée d’adultère, elle est en effet horrible au Seigneur parce qu’elle s’attaque à la confiance conjugale dans laquelle Dieu a trouvé une image de l’amour qu’Il nous porte. Les époux trompés et les enfants battus ont ceci en commun qu’ils doivent guérir d’avoir été trahis par ceux qui devaient les aimer le plus sur cette terre… Dieu a créé la sexualité pour le bonheur des hommes, le diable l’a perverti pour leur malheur… Le chrétien traqué par Satan dans ses pensées sexuelles doit donc rejeter toute complaisance et toute autojustification et s’en remettre hardiment à Dieu. Pour autant, ce n’est pas la culpabilité et l’abattement qui guérissent ces pensées mais l’ouverture de notre cœur à l’amour de Dieu ainsi que la confiance en sa grâce transformatrice.

Chrétiens qui vous battez avec la pornographie et avec les pensées sexuelles, continuez à vous repentir mais surtout suppliez Dieu de vous donnez des jouissances plus fortes que toutes ces jouissances injustes. Quand Dieu répondra à vos prières, repoussez à jamais le diable dès que vous voyez son ombre arriver et louez Dieu de tout votre cœur !

Que dit la Bible à propos de la crémation ? [VéroS]

Lorsque Saül et ses fils perdirent la bataille de Guilboa, les philistins leurs coupèrent la tête et exposèrent leurs corps en les clouant au rempart de Beth-Shéân. De vaillants Israélites proches du clan de Saül partirent en mission commando pour récupérer les corps afin de les brûler, puis ils ensevelirent les ossements et jeunèrent durant sept jours (1 Samuel 31). Plus tard, David bénira ces hommes pour leur fidélité à l’égard de Saül… (2 Samuel 2, 5ss)

La crémation n’est pas la pratique courante en Israël et ne connaît pas d’autre exemple dans l’Écriture que celui déjà évoqué. La pratique culturelle par défaut est donc l’inhumation, soit dans la fosse commune, soit dans des grottes naturelles ou éventuellement taillées pour l’occasion, mais nulle part ces pratiques ne sont spécialement recommandées théologiquement : c’est juste l’usage…

Du soin qu’Abraham prête à l’enterrement de Sarah (Genèse 23), ou encore de l’attitude de Joseph d’Arimathée et des femmes qui suivaient Jésus à l’égard du corps du Seigneur après la crucifixion (Jean 19ss), on déduit que c’est une bonne chose d’avoir respect pour le corps des morts. Mais si nos moments de deuil sont précieux pour le Seigneur, ils sont aussi des moments dangereux spirituellement où le Satan nous guette. Chaque culture et chaque rite funéraire génère ses propres idolâtries et ses superstitions. Quels que soient nos choix en matière de « pratique » funéraire, il est essentiel de se positionner très fermement dans la prière du côté du Dieu de la vie qui ressuscitera les morts et offrira un nouveau corps de gloire à ceux qui auront mis leur confiance en Jésus-Christ.

La théologie envisage-t-elle comme possible l’existence de créatures extraterrestres ? [Cynthia]

Il est certain que les créatures extraterrestres existent ! Il y a d’abord toutes les créatures inanimées (qui ne sont pas dotées du statut de personne) : la lune et les étoiles par exemple (Gn 1, 16). C’est plus audacieux qu’il n’y parait de les appeler « créatures » car c’est une révolution théologique de la bible par rapport aux conceptions religieuses du Proche Orient Ancien de ne plus les considérer comme des divinités animées égales en nature au Dieu créateur…

Il y a ensuite, les créatures spirituelles, anges et démons qui sont appelées créatures célestes même si elles ont beaucoup de rapports avec les créatures terrestres.

Il y a enfin Dieu, qui s’est profondément lié à la terre puisque Jésus, Fils unique, n’est ni martien, ni saturnien mais Galiléen. Toutefois, Dieu ne peut évidemment pas être considéré comme terrien puisqu’il est le créateur de tout et différent de ce qu’il a créé (sinon nous serions panthéistes).

Pour ce qui est des E.T. animés (genre ceux des films fantastiques), rien ne s’oppose et rien ne suppose [à] leur existence… Je sais juste que dans cette hypothèse, les humains demeurent les gardiens de la création, que la terre demeure le centre du projet de Dieu… donc ça ne devrait pas changer grand chose.

Pourquoi continuons-nous à célébrer des fêtes chrétiennes (et/ou juives) ? Ca fait un peu célébration saisonnière et païenne- non ? [GiB]

Clairement, les fêtes religieuses peuvent honorer Dieu ou les idoles selon l’esprit qui nous pousse à les célébrer ! Mais dans le doute, abstenons-nous de juger hâtivement…

Les fêtes juives sont bibliques, instituées dans l’Ancien Testament elles ont pour but de glorifier Dieu en se remémorant son action dans l’histoire d’Israël (exemple dans le livre de l’Exode 12, 24-27). Elles n’ont pas un sens seulement social ou « festif », elles servent à communiquer la présence de Dieu avec son peuple et à transmettre l’enseignement de la foi aux générations successives.

Les fêtes chrétiennes ne sont pas instituées bibliquement mais commémorent aussi l’action de Dieu en prenant pour thème des moments importants de la vie de Jésus racontés dans les évangiles (Naissance du Christ , Mort et Résurrection, Ascension…) ou de l’action de l’Esprit (Pentecôte).

L’hypocrisie religieuse et le conservatisme rituel sont clairement des gros problèmes dans le christianisme contemporain. Mais jeter ces occasions pédagogiques d’enseigner l’action de Dieu est-il plus pertinent que d’essayer de leur redonner leur connexion authentique ? Honnêtement, je pense qu’il n’y a pas de réponse univoque… Ni ces fêtes, ni leur dénaturation n’est obligatoire.

Ce que je conseille à chacun, c’est de prier Dieu, d’écouter selon son contexte si fêter peut être une occasion d’édification personnelle ou une occasion d’évangélisation et agir en conséquence, sans jugement et sans mépris. De toute façon, ces fêtes n’ont de sens que si on accepte que Dieu parle et agisse encore aujourd’hui !

Doit-on prendre la sainte Cène tous les dimanches ? [ixix]

Dans le livre des actes qui raconte les pratiques des premiers chrétiens, il est fait mention de réunions quotidiennes pour la communauté de Jérusalem, avec la fraction du pain au domicile (Ac 2, 42-47). Plus tard dans ce même livre, on comprend que la pratique d’autres communautés est de se réunir le dimanche, c’est-à-dire le premier jour après le sabbat, pour notamment « rompre le pain » (Ac 20, 7). Ailleurs dans le Nouveau Testament, on comprend à partir des réprimandes de l’apôtre Paul aux chrétiens de Corinthe que le partage du « repas du Seigneur » fait partie intégrante des réunions de cette communauté aussi (1 Co 20-21).

De ces éléments bibliques là, on doit clairement tirer que c’est une juste pratique de « rompre la pain » ensemble tous les dimanches. Pour autant, si le commandement de Jésus est de partager la coupe et le pain en sa mémoire (Luc 22, 14-20), il n’y a d’abord aucune obligation de sa part liée à la fréquence, deuxièmement aucune obligation concernant la forme « rituelle » que doit prendre ce repas. Jésus a institué ce partage au cours d’un dîner de Pâques avec ses disciples et pas au milieu d’une réunion de prière… Il y a énormément d’éléments culturels dans nos Églises qui nous font souvent penser à tort que « c’est comme ça la manière normale de pratiquer »… certains prennent le repas au début de la réunion, d’autres à la fin, beaucoup le font en dehors d’un « vrai repas », d’autres considèrent que le repas communautaire après le culte fera fonction…

Pour conclure, ne mettons pas de « devoirs » là où le Seigneur a laissé la liberté et concentrons-nous sur l’enseignement de Jésus et le sens de ce repas avant toute réflexion (légitime) sur la forme qu’il doit prendre dans notre assemblée.

J’ai du mal avec l’idée qu’en se repentant à la fin de sa vie, on puisse être pardonné. Avec Hitler, par exemple ? S’il avait regretté sincèrement, Dieu l’aurait pardonné? Ca ne répare pas les torts ! [Claire]

Si Hitler s’était repenti en pleurant sur ses crimes et en criant à Jésus, je lui aurais prêché la certitude du salut et la vie éternelle aussi sûrement qu’à moi-même. Mais à ce que j’en sais, il est mort comme il a vécu…

Hitler est le cas extrême qui nous fait tous passer pour des gentils… Le pardon d’Hitler nous semble avoir quelque chose de tellement scandaleux qu’on en trouve presque le nôtre normal et évident. Attention aux ruses de l’ennemi ! Si nous étions si propres, qu’avions nous besoin du sang du Christ pour être purifiés ? Ce n’est pas Hitler l’étalon de la justice, c’est Jésus de Nazareth ! « Il n’y a point de juste, pas même un seul » (Romains 3, 10). Le plus gros scandale de l’histoire de la création, c’est la condamnation de Jésus à Golgotha ! Dieu est le seul qui a supporté de sa propre personne le salut des méchants… Au lieu de regarder à Hitler, regardons à Jésus et méditons ce que méritent nos pensées, nos actes ou au contraires nos inactions… Aussi choquant que cela paraisse, je pense que notre nature charnelle a plus en commun avec Hitler qu’avec Jésus-Christ ! Si nous sommes honnêtes avec nous, nous comprenons intimement que le salut est une pure grâce imméritée, pour nous aussi…

La gloire de Dieu se manifeste justement quand les méchants pleurent sur eux-mêmes. Si des dictateurs, même en fin de règne, peuvent se convertir et être encore sauvés de justesse, c’est un jour de joie dans le ciel et sur la terre ! C’est même certainement avec ce genre de conversions que le royaume avance le plus… Tant que nous n’arrivons pas à en faire pour nous un sujet de joie, c’est que nous n’avons pas bien compris de quelle horreur et à quel prix Dieu nous avait Lui-même sauvé. Gloire à Lui seul ! 

Peut-on vivre avec un non-chrétien ? Le couple peut il être sanctifié par un des deux partenaires ? [Pauline]

Concernant les questions conjugales, notre époque diverge profondément des enseignements bibliques. Mais si la vision moderne du mariage avait rendu les couples heureux, on serait au courant, non ? Comment un don de Dieu est-il devenu une usine à malheur ? C’est assez sage de penser ces questions avec Dieu au moins autant qu’avec ses copines…

Interrogé sur ces sujets (1 Corinthiens 7 en particulier), Paul évoque des situations différentes pour le couple déjà marié et pour le chrétien qui ne l’est pas encore. Il fait aussi la différences entre des réponses certaines venant du Seigneur et des réponses personnelles inspirées. Ses convictions reposent entre autres sur : 1° une conception du couple comme don de Dieu (à faire fructifier pour Sa gloire et non seulement à consommer pour son plaisir) ; 2° une conception de l’amour où la décision prévaut sur le sentiment (d’où découlent ses convictions sur le pardon, la persévérance dans la relation…).

Dans le cas d’un mariage déjà acté avec un non-chrétien, Paul répond avec plein d’espérance. Oui, il est nécessaire de persévérer dans cette relation aussi longtemps que le partenaire non-chrétien souhaite rester (dans la fidélité bien sûr !). Cette relation ne peut être que bénéfique spirituellement pour le non-chrétien et Dieu reconnaît et assiste ce mariage légitime.

Dans le cas d’un couple à venir, Paul évoque comme une évidence que ce couple doit être « dans le Seigneur ». Par exemple, il évoque le remariage des veuves en disant : « elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien » (1 Co 7, 39). Cette affirmation peut sembler dure à notre mentalité romantique et sentimentale, mais le mariage est à la fois plus compliqué encore que cette réponse et mille fois plus beau qu’un coup de foudre passionné mais éphémère… Que le Seigneur vous comble selon son projet !

Lorsque je me repens, Dieu me pardonne. Mais peut-on croire qu’en toutes circonstances les conséquences de mon acte, maintenant pardonné, sont aussi réparées ou transformées ? [Adam]

Quand j’étais au lycée, j’ai appris quelques années après les faits, qu’une fille de ma classe que j’avais persécutée pour me faire valoir comme « beau gosse bad boy » était en dépression et avait fait une tentative de suicide. Je n’étais pas encore converti, mais je pris conscience avec larmes de ce que nos actes sont parfois destructeurs à un point que nul homme ne pourra réparer… Je vous propose de regarder deux histoires bibliques.

Zachée était un collecteur d’impôts malhonnête. Quand il reçut Jésus et se convertit, il prit la décision publiquement de redistribuer l’argent mal acquis et même de rendre quatre fois plus à ceux qu’il avait lésés. Le texte ne mentionne pas une prière spéciale et religieusement codifiée de confession de ses péchés ou de repentance… Mais devant tout le monde et surtout devant le Seigneur, il évoque sa situation en toute transparence dans tout ce qu’elle a d’injuste et s’engage à réparer. La vraie repentance entraîne d’abord une transformation du pécheur, mais s’il y a possibilité de réparer, il est certain qu’un appel pressant ne laissera pas notre conscience en paix tant que des actes responsables n’auront pas prolongé notre repentance !

David était un grand Roi, proche de Dieu, mais avait un gros problème de séduction. Son désir l’entraîna dans une misère extrême en volant la femme d’un autre puis en maquillant cet adultère par le meurtre. Il pleura devant le Seigneur et se livra à sa colère. Il fut puni par Dieu et perdit notamment le fils né de son adultère. Oui, il fut pardonné ! Et quand le Seigneur pardonne, il pardonne vraiment ! Mais les conséquences du péché étaient irréparables par David qui ne ressuscita ni l’homme qu’il avait fait tué, ni le fils que Dieu lui reprit… Heureusement que le Seigneur est infiniment plus grand que l’homme ! Il est juste, bon et Tout-Puissant. Lui sait comment restaurer dans leur droit ceux qui ont été lésés au point que nul homme ne peut réparer. Il y a une vie après la mort et celle-ci ne durera pas seulement 80ans… Le temps pour Dieu d’effacer toutes larmes et bien davantage.

Légitimer un progressisme politique au nom de la foi chrétienne, n’est ce pas lâche, hors sujet, et anti-spirituel ? (oui, cette attitude me met en colère…) [Dino]

Attention ! Satan aime autant la tiédeur des chrétiens dans le bon combat, que l’embrasement de ceux-ci pour la vanité… Avant de causer politique : calmons-nous (moi y compris) ! Il n’est pas juste que ce sujet ait autorité sur nous au point de nous exciter au delà de la mesure. La colère qui a de justes motifs n’est pas sainte pour autant : le fruit de l’Esprit consiste aussi en douceur et en patience.

Oui, il y a des manipulateurs de la foi qui l’utilisent pour justifier l’inacceptable. Mais rien de nouveau sous le soleil. C’est un trait classique du faux prophétisme souvent prisé par les religieux proches du pouvoir… A l’époque de Jésus, le pouvoir religieux (les sadducéens) avaient pactisé avec le colonisateur romain pour garder un semblant de contrôle sur la nation juive. Les raisons humaines de la crucifixion du Messie proviennent de cette collusion entre Caïphe et Ponce Pilate. Mais à la même époque, il y avait aussi des terroristes appelé zélotes (on en retrouve parmi les disciples de Jésus) qui formaient une coalition meurtrière contre les pouvoirs religieux et politiques… Entre ces deux courants, il y avait le ventre mou du peuple, apathique et dépassé par ces enjeux, ils forment les bataillons des esclaves volontaires.

Tant qu’on a pas vu que l’histoire des hommes est déjà décrite dans la Bible, on passe à côté du bon diagnostic et de la bonne réponse : Jésus. Les faux prophètes du progressisme, les colériques « anti-chrétiens de gauche » et les chrétiens mous sans convictions sont tous ensemble les pantins de Satan dans l’histoire humaine. La liberté à cet égard est extrêmement difficile et le chemin du Christ est étroit : porter du fruit pour les nations, devant les peuples et les empereurs sans jamais se perdre dans le monde et brader la paix, la joie et l’amour que Dieu nous a chèrement acquis.