Diwali est une des principales fêtes religieuses hindoue et signifie « la fête des lumières » dont la signification est également adaptée dans les cultes sikhs et jaïna.
Selon les différentes régions de l’Inde on peut donner à cette fête des sens divers et variés mais dans la majeure partie du pays, l’objectif premier du rituel de l’alignement des lumières consiste dans la convocation de l’esprit de Lakṣmī, déesse de la prospérité et copine de Vishnu, l’un des trois de la grande trinité hindoue avec Brahma et Shiva, et à qui l’on attribut le salut de l’humanité.
Sans mauvais jeux de mots, même si je ne considère pas la foi chrétienne comme un ensemble de prescriptions sur ce que le chrétien peut ou ne peut pas faire; doit ou ne doit faire. Je vous laisse d’ores et déjà constater l’incompatibilité de fond qu’il peut y avoir entre d’une part l’adoration d’un Dieu révélé en Jésus-Christ dont le premier commandement insiste sur son unicité et son exclusivité, et d’autre part la convocation d’un esprit autre. Un esprit autre, qui s’inscrit dans un ensemble de croyance autre, et qui s’attribue ce que l’on attribut à Dieu. Je ne peux que vous mettre en garde.
Exode 20,5: Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux.