Dans le texte que vous évoquez, Bec, je remarque que ni ceux que Jésus appelle « vous qui êtes bénis par mon Père », ni ceux qu’il appelle « maudits » n’ont conscience de ce qu’ils ont fait ou pas faits pour se retrouver félicités ou rejetés par le Fils de l’homme. Cela me semble bien dire que l’on ne parle pas d’une œuvre à effectuer en vue d’obtenir le salut mais d’un acte réalisé dans l’élan de la compassion pour les plus faibles, sans calcul.