Le jeu de rôle (à « la sauce chrétienne » ou non) est-il une activité pouvant pleinement participer à une vie sain(t)e et équilibrée ? [P.]

Tout dépend, me semble-t-il, de ce que vous vivez dans ces temps de jeu : un temps convivial d’interaction sociale, dans lequel les limites claires sont posées entre la fiction et la réalité et où ne prend pas de plaisir à la souffrance ou à l’impiété, même imaginaires ? Alors je ne vois pas ce qu’il y a à redire. On peut même imaginer expérimenter là des attitudes vraiment chrétiennes, même si elle restent fictives. Mais si ces frontières ne sont pas bien définies… Comme dit le proverbe : « Quand c’est flou, il y a le loup ».