Par principe, nous sommes conviés à ne pas abandonner nos assemblées (Hébreux 10:25). Disons que, comme dans toute affaire de conviction, il y a un principe général de cet ordre : la fidélité.
Après ça, l’apôtre Paul en Romains 14:23 nous invite à considérer que « tout ce qui n’est pas le fruit d’une conviction spirituelle est un péché ». Donc c’est en votre âme et conscience que, devant Dieu, vous pouvez faire le choix de quitter ou ne pas quitter cette Eglise.
Tant qu’on pense qu’on peut influencer, voire réformer, il faut rester, mais si la participation aux réunions d’Eglise devient une occasion de souffrance ou de torture, et si on en a la conviction reçue d’en haut, il est possible de changer d’Eglise, certainement. Mais sans l’illusion de trouver l’Eglise parfaite qui n’existe pas.
Comme on le dit trivialement : « Si vous trouvez un jour l’Eglise parfaite, n’y entrez pas, elle ne le serait plus… »